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Élu à la tête du PLQ en juin dernier, M. Rodriguez a repris les mises en garde de ses prédécesseurs contre l'indépendance du Québec.
Un Québec indépendant serait viable, mais appauvri, a laissé entendre le chef libéral Pablo Rodriguez, samedi, au Conseil général de son parti à Trois-Rivières.
Dans un message vidéo diffusé aux militants libéraux depuis Israël, l'homme d'affaires Mitch Garber a renchéri a soutenant que l'indépendance menaçait les entreprises.
Élu à la tête du PLQ en juin dernier, M. Rodriguez a repris les mises en garde de ses prédécesseurs contre l'indépendance du Québec, telle que promue notamment par le Parti québécois (PQ), en avance dans les sondages actuellement.
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«On ne serait pas au même niveau économique, on ne ferait pas partie du G7 et on aurait à renégocier nos traités de libre-échange», a-t-il déclaré quand on lui a demandé si le Québec allait s'appauvrir.
Ancien ministre fédéral du gouvernement Trudeau, M. Rodriguez a souligné que l'engagement du PQ de tenir un référendum constituait une menace à la prévisibilité et à la stabilité dont a besoin le milieu des affaires.
Dans un message vidéo diffusé depuis Israël où il se trouvait, M. Garber s'est adressé aux militants du PLQ en début de séance samedi matin. Il a soutenu que l'élection éventuelle du PQ en 2026 aurait un effet dévastateur sur les affaires.