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Mais malgré ces efforts, le message est le même depuis plus de dix ans: «on ne change pas de nos consommations», soutient le titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie à HEC Montréal, Pierre-Olivier Pineau.
Même si les batteries font partie de la vague de changement qui est demandée, ces annonces n’envoient pas «le message à la population et aux entreprises qu’il faut changer plus fondamentalement nos modes de consommations», ajoute M. Pineau.
Québec argumente que ces mesures représentent la meilleure façon d’atteindre ses objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES) «progressivement».
Mais est-ce «progressivement» sera suffisant?
Voyez le reportage d’Emmanuel Leroux-Nega dans la vidéo.