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11 entreprises de Québec y participent, dont les Croisières AML, le Château Frontenac et l'Hôtel-Musée Premières Nations.
Il sera possible d’avoir dès mercredi un avant-goût du métier de réceptionniste, de serveur... ou même sommelier.
Voyez le reportage de Jean-Simon Bui, qui s’est prêté au jeu des portes ouvertes en accompagnant le sommelier du restaurant La Traite, Carl Etcheverry.
En plus des compétences essentielles pour pratiquer le métier, les aptitudes sociales sont cruciales à la profession de sommelier, selon M. Etcheverry. «C’est de pouvoir bien communiquer son enthousiasme par rapport au vin pour que le client se sente à l’aise et ne ressente pas de condescendance. Il n’y a rien de pire que ça, quand vous avez un sommelier un peu pédant», soutient-il.
M. Etcheverry n’a pas à réfléchir longtemps avant d’énumérer les aspects de son métier qui pourraient attirer de nouvelles recrues. «Il y a la camaraderie. Vous faites de longues heures [avec vos collègues]. À un jeune, je dirais que vous pouvez pratiquer la sommellerie partout dans le monde, ça vous donne une liberté absolue», lance-t-il.
«On va offrir différents ateliers qui touchent autant l’hébergement que la restauration [pour promouvoir nos belles professions dans l’industrie du tourisme]», explique Émilie Rondeau, conseillère en ressources humaines à l'Hôtel-Musée Premières Nations.
Mme Rondeau convient que le secteur du tourisme a été bousculé par la pandémie. «Les gens se sont habitués à des horaires stables, de 9h à 17h. C’est sûr que dans l’hôtellerie et le tourisme, on doit être plus flexibles avec les horaires», admet-elle.
Une hausse des salaires a d’ailleurs été nécessaire pour l'Hôtel-Musée Premières Nations.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo liée au texte.