À Bury, deux jeunes agriculteurs élèvent leurs porcs en liberté dans une grande forêt de 2,5 acres. Une façon de faire de plus en plus répandue auprès des jeunes fermiers, qui ne vivent pas toujours en harmonie avec le modèle des mégas porcheries.
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La viande, disent-ils, est plus tendre et les cochons, eux, sont heureux et toujours en mouvement. La clientèle est au rendez-vous et les clients, soucieux de ce qu'ils mangent et des conditions de vie des animaux, sont prêts à payer un peu plus cher pour se procurer de la viande élevée de façon éthique.
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