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«Nous déposons une preuve sous forme électronique. Nous avons 101 pièces à déposer. Essentiellement, ce sont les extractions des comptes Facebook des jeunes adolescentes», a expliqué la procureure aux poursuites criminelles et pénales du bureau de la grande criminalité et des affaires spéciales, Me Marie-Josée Guillemette.
Plusieurs conversations dérangeantes avec des victimes alléguées ont été présentées en salle de cour.
Rappelons que l’accusé s’était créé une fausse identité sur les réseaux sociaux. Il utilisait le pseudonyme «Tay Marsh» pour entrer en contact avec les adolescentes.
«Il y a des propos qui reviennent souvent, entre autres, qu’il se dit "nu sous les couvertures"», a précisé Me Guillemette.
Pour plus de détails, voyez le récapitulatif de Guillaume Cotnoir-Lacroix au bulletin Noovo Info Estrie.