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Depuis son plus jeune âge, il a réussi à surmonter son handicap.
«Quand j’étais jeune, mon handicap était très minime. Je continuais malgré tout à faire différents sports», a-t-il expliqué à Noovo Info. «Quand j’ai fait du judo, mon handicap s’était alors plus prononcé. Mes jambes étaient plus faibles.»
Atteint d'un trouble neurologique qui affecte les nerfs et les extrémités, il a eu la «piqûre» pour la natation.
«À ma première compétition de natation j’ai vraiment eu la piqûre et je voulais continuer», a dit celui qui se considère comme un «Trifluvien adopté».
Le paranageur a participé à de nombreuses compétitions nationales et internationales. Il s'entraîne au Centre de l'activité physique et sportive de l'Universités du Québec à Trois-Rivières.
Qualifié pour les Jeux de Paris, il souhaite donner son meilleur et en profiter au maximum, «et ce, peu importe ce qu’il arrive», a-t-il précisé.
L'année 2024-2025 marquera également la fin de sa carrière et de ses études ainsi que l'arrivée d'un bébé en novembre. «Ça finit sur une très belle note», a dit l'athlète.
Voyez le reportage d'Evelyne Alix-Fontaine dans la vidéo.