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En réplique à la défense qui plaide la non-responsabilité criminelle, la couronne affirme qu'au contraire, l’accusé savait qu'il faisait quelque chose de mal en tirant à six reprises sur Patricia Sirois. La couronne convient toutefois qu’il souffrait d’un choc de stress posttraumatique.
La poursuite rejette complètement l’argument de la défense qui décrit Martin Lévesque comme victime de la guerre et Patricia Sirois comme victime collatérale tout comme la possibilité d'une dissociation de personnalité au moment du drame.
Voyez le reportage de Mathieu Boivin présenté au bulletin Noovo Le Fil Québec animé par Lisa-Marie Blais.