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Ce mouvement féministe, né en Ukraine, semble moins présent aujourd'hui dans la sphère médiatique, en raison de divisions à l'interne, autant ici qu'à l'international.
Celle qui avait fondé la branche québécoise, Xenia Chernyshova, n'est plus dans le mouvement. Avec la guerre qui sévit dans son pays d'origine, elle s'implique maintenant autrement.
«C’est terrible, car les femmes se retrouvent seules avec les enfants, parce que les hommes doivent rester au pays», a lancé la comédienne à Noovo Info, mercredi.
Voyez le reportage de Camille Laurin-Desjardins dans la vidéo de cet article.
«Le mari de ma cousine est resté au pays. Elle, elle s’est retrouvée en Pologne avec sa fille et sa belle-mère. Donc, c’est une charge de travail énorme qui tombe sur les épaules des femmes, qui doivent apprendre de nouvelles langues», a-t-elle déploré.
Mme Chernyshova a ajouté que le mouvement féministe s’est «essouflé» depuis quelques années, qu’elle qualifie de «vocation perturbante».