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Le comédien a voulu intenter des démarches judiciaires contre un homme, qu'il ne connaît pas et qui serait à l’origine de l’apparition du nom de l'artiste sur la liste des présumés abuseurs du site Dis son nom en mai 2021.
«Mon nom est apparu en premier en 2020. Quelqu’un m’a dit qu’une personne avait partagé un commentaire sur la page Facebook de Dis son nom en disant que c’est une personnalité avec une fondation contre l’intimidation et il avait donné mon nom de drag queen dans les années 90. [...] Et la semaine d’après, mon nom est apparu sur la liste», a-t-il expliqué au bulletin Noovo Le Fil 17.
Après avoir engagé un détective, M. Roy a réussi à lui envoyer une mise en demeure.
«On a engagé un détective et on a trouvé son adresse pour envoyer une mise en demeure. Par la suite, cela a été retiré dans les 48 heures. Je pensais que c'était terminé, mais il a fait une plainte à la police. […] Les policiers m’ont appelé et après les Fêtes, on m’a dit que la plainte n’a pas été retenue. […] Il a commencé à publier plein de trucs sur moi, il m’a menacé […] et il s’est même présenté chez nous», a raconté le comédien, animateur et auteur sur nos ondes.
Malgré tous ses efforts, l'affaire s'est poursuivie. C'est pourquoi qu'il a voulu entamer une poursuite en diffamation contre cet homme, tout en préservant son anonymat. Mais, la Cour suprême a refusé.
«Il n’y a pas de poursuite à l’heure actuelle. […] J’ai juste fait une demande d’anonymat aux tribunaux, qui a été conseillée par mes avocats, puisque je suis une personnalité connue et que la fondation était ciblée aussi», a indiqué M. Roy, déçu par cette décision.
Voyez l'entrevue complète dans la vidéo.