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Le pape François a d’ailleurs été en visite au Québec, notamment dans un effort de réconciliation avec les peuples autochtones.
De l’autre côté, plusieurs représentants de l’Église ont été visés par des allégations d’inconduite sexuelle, particulièrement le cardinal Marc Ouellet, qui a donné sa démission, même s’il n’avait «rien à cacher».
Récemment, on apprenait également que le pape Jean Paul II aurait caché des histoires de prêtres pédophiles, et qu’il y aurait possiblement près de 5000 victimes d’abus sexuels au sein de l’Église du Portugal.
Comment faire confiance à l’Église sous le poids de toutes ces accusations?
«Je comprends que ça ébranle la confiance des gens. Si on voit quelque chose qui nous apparait douteux, on le nomme tout de suite. On n’attend plus», a soutenu l’archevêque de Québec, Gérald Cyprien Lacroix.
Mais avant tout, l’archevêque maintient que des allégations ou l’apparence d’inconduite n’équivalent pas à une réelle condamnation.
«Lorsqu’on croit qu’il y a des allégations crédibles, on retire la personne immédiatement», a-t-il ajouté.
Voyez le reportage de Jean-Simon Bui dans la vidéo.