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Le chef du parti, Claude Villeneuve, a critiqué la prise de bec et la façon dont elle s’est produite. «Ça se présente à cinq bonhommes pour lui crier dans la face… On parle beaucoup d’intimidation des élus […] et de pourquoi il n’y a pas plus de femmes en politique. Il y a un problème au Campanile», a-t-il déploré jeudi.
Selon M. Villeneuve, le président de l'Association de la rue du Campanile, Jean-Luc Lavoie, un ancien opposant politique de Mme Corriveau, s’est «servi [de l’événement] comme rampe de lancement pour revenir comme candidat». «On va arrêter de le tolérer», a-t-il ajouté.
Le maire de Québec, Bruno Marchand, a quant à lui nié que M. Lavoie comptait se présenter pour sa formation politique. «On est dans une insinuation d’insinuation d’un peut-être […] On va laisser M. Villeneuve à ses propres préoccupations, parce qu’il en a, des préoccupations», a rétorqué le maire.
Mercredi, une rencontre entre Mme Corriveau et l’Association des commerçants de la rue du Campanile avait tourné au vinaigre, alors que chaque camp a présenté des visions totalement contraires de la vitalité de l’artère.
Pour le reportage intégral, voyez la vidéo.