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Le ministre de la Sécurité publique du Canada, Marco Mendicino, a annoncé jeudi un investissement de près d’un million de dollars devant permettre à la ville de Miramichi afin de lutter contre la violence liée aux armes à feu et aux gangs.
Le ministre de la Sécurité publique du Canada, Marco Mendicino, a annoncé jeudi un investissement de près d’un million de dollars devant permettre à la ville de Miramichi, au Nouveau-Brunswick, de lutter contre la violence liée aux armes à feu et aux gangs.
Il était accompagné pour l’occasion du maire de la municipalité, Adam Lordon, et du chef adjoint de la police, Brian Cummings.
Ce montant sera distribué par la ville à des organismes locaux qui tenteront de prévenir la violence armée et liée aux gangs et permettre aux jeunes de «compter sur de meilleures opportunités». L’investissement provient du fonds «Bâtir des communautés plus sécuritaires».
M. Mendicino a également mentionné qu’il était «de tout cœur avec les Montréalaises et les Montréalais» concernant les derniers événements. Rappelons que deux meurtres sont survenus en plein jour en l’espace de 30 minutes le 23 août dernier.
«Je sais qu’il y a beaucoup de gens qui se sentent inquiets en ce moment, a admis M. Mendicino. Je vais continuer à travailler en collaboration avec la mairesse Plante et avec la ministre de la Sécurité publique Geneviève Guilbaut et tous les autres intervenants pour arrêter la violence armée, parce que c’est inacceptable.»
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Le ministre de la Sécurité publique a souligné qu’entre 2009 et 2019, l’utilisation criminelle des armes à feu avait augmenté de 81% au Canada. Il a souligné que le programme du gouvernement comprenait aussi des projets de loi «intelligents», comme le C-21 et des augmentations des peines pour les trafiquants d’armes à feu.
«Les Canadiens s’inquiètent avec raison des crimes violents qu’ils voient dans leurs villes. Une grande partie de cette violence est causée par les groupes criminalisés. Ces activités se font de plus en plus dans des endroits publics, souvent en plein jour, a souligné M. Mendicino. C’est inacceptable et ca nous met tous en danger.»