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L'employeur et les syndiqués de la STLévis s'accusent mutuellement de nuire aux discussions.
Les négociations demeurent difficiles entre la Socitété de transport de Lévis et ses chauffeurs, en grève générale illimitée depuis le 13 février.
À la suite d'une nouvelle rencontre qui avait lieu mercredi, les deux parties s'accusent mutuellement de nuire aux discussions.
Dans un communiqué, le syndicat reproche à l'employeur de lui faire perdre son temps en tardant à répondre à ses propositions et en négligeant les rencontres.
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L'employeur réfute quant à lui ces accusations et affirme au contraire faire preuve d'ouverture sur plusieurs questions. Il critique par ailleurs le syndicat pour son manque de franchise concernant l'organisation du travail et son intransigeance face à certaines demandes.
Les deux parties se retrouveront vendredi pour une nouvelle séance de négociations.