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Kevin Brosseau, affirme qu'il apportera une «intensité» aux efforts visant à éliminer le fléau des deux côtés de la frontière.
Le nouveau «tsar canadien du fentanyl», Kevin Brosseau, affirme qu'il apportera une «intensité» aux efforts visant à éliminer le fléau du fentanyl des deux côtés de la frontière canado-américaine.
En visitant un poste frontalier près de Lansdowne, en Ontario, lors de sa première journée de travail, l'ancien officier supérieur de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a déclaré que son mandat consistait à rassembler les gens, à bien intégrer le travail à faire et à produire des résultats.
M. Brosseau a passé plus de 20 ans à la GRC et, plus récemment, il a été conseiller adjoint du premier ministre en matière de sécurité nationale et de renseignement.
Il affirme que, s'il pouvait envoyer un message au président américain Donald Trump, ce serait que sa nomination démontre à quel point le Canada prend au sérieux la crise du fentanyl.
M. Brosseau s'est exprimé aux côtés du ministre de la Sécurité publique, David McGuinty, qui a déclaré que le sang-froid et une approche disciplinée devraient prévaloir, alors que le Canada est confronté à la menace de tarifs douaniers sur tous les produits exportés aux États-Unis.
Selon le ministre McGuinty, les tarifs douaniers constituent un scénario perdant pour les deux pays.