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Le délinquant sexuel Simon Houle plaide coupable à un bris de condition
L’ingénieur Simon Houle a plaidé coupable à un bris de condition et devra se soumettre à 75 heures de travaux communautaires.
L’ingénieur Simon Houle a plaidé coupable à un bris de condition, mercredi matin. Il devra se soumettre à 75 heures de travaux communautaires.
Il a comparu par visioconférence de la prison où il se trouve depuis le mois de janvier. La Cour d’appel du Québec avait annulé l’absolution conditionnelle qui lui avait été accordée, en la remplaçant par une peine de 12 mois de prison.
Cette fois, le délinquant a plaidé coupable pour avoir brisé la condition de «garder la paix et avoir une bonne conduite» lors d’un événement survenu le 4 juillet dernier.
Après avoir bénéficié de son absolution conditionnelle, l’ingénieur aurait agressé une femme à Cuba. Durant ce voyage, Simon Houle aurait empoigné les fesses de Vickie Vachon, 40 ans, de manière agressive, sans son consentement.
Ces événements ont mené la Couronne à porter une nouvelle accusation contre le délinquant, cette fois, pour avoir brisé une condition figurant à son ordonnance de probation.
Rappelons que l’ingénieur avait été reconnu coupable d’agression sexuelle et de voyeurisme. L’homme de 30 ans a agressé sexuellement une amie lors d’une fête en 2019 à Trois-Rivières. Il a aussi avoué avoir pris des photos de ses parties intimes.
Pendant sa thérapie, l’agresseur a reconnu «un autre geste d’agression» commis en 2015, mais qui n’a pas été judiciarisé.
Avec des informations d'Audrey Bonaque, Noovo Info.