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L’année dernière, l’air de Montréal était le plus pollué depuis 2015, en raison de la saison historique des incendies de forêt au Québec.
L’année dernière, l’air de Montréal était le plus pollué depuis 2015, en raison de la saison historique des incendies de forêt au Québec.
Le rapport annuel de la ville sur la qualité de l’air, publié cette semaine, montre que la pollution aux particules fines a atteint en 2023 son plus haut niveau en huit ans.
La qualité de l'air à Montréal s'est améliorée entre 2014 et 2016, en partie grâce à la fermeture de nombreuses centrales thermiques au charbon aux États-Unis.
La ville a connu ses pires journées de smog jamais enregistrées les 25 et 26 juin de l'année dernière, en raison de l'épaisse fumée des incendies de forêt qui, durant la saison, ont brûlé plus de 4,3 millions d'hectares dans la province, le plus grand nombre jamais enregistré.
À ce moment, Montréal avait la pire qualité de l’air au monde.
Le rapport montre également que la pollution de l’air due au chauffage résidentiel au bois a chuté de près de 40 % entre 2014 et 2023, à la suite d’un règlement de 2015 interdisant certains poêles et foyers à bois.