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Santé
Chronique |

Faciliter le don d’organe pour sauver plus de vies

Des organes, il en manque réellement, la situation ne s’améliorant pas, ici encore plus qu’ailleurs. Parce que même si le nombre de donneurs augmente, les besoins s’accroissent plus rapidement.

Un consentement par défaut contribuerait aussi à transformer la culture, en métamorphosant le don d’organe en une pratique attendue, selon le Dr Alain Vadeboncoeur

Au Québec, n’est pas donneur d’organe qui peut, mais qui veut.