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Figure marquante du sport en Mauricie, il a consacré ses dernières années au développement du hockey scolaire, notamment au Séminaire Saint-Joseph de Trois-Rivières.
Son passage au sein des Cataractes de Shawinigan, l’équipe de sa ville natale, demeure toutefois parmi les moments les plus marquants de sa carrière. Il en a été l’entraîneur-chef de 1997 à 2006.
Voyez le reportage de Marc-André Pelletier dans la vidéo ci-contre.
«J’ai grandi à l’aréna Jacques-Plante, j’y ai joué mon hockey mineur. Ma mère y a travaillé pendant plusieurs années, c’était comme mon deuxième domicile. D’avoir eu la chance de diriger l’équipe de ma ville, ce qui me semblait plus jeune inaccessible, a été pour moi un bel exploit pour moi», raconte Denis Francoeur.
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Malgré tous ces bons souvenirs, il est venu temps pour l’entraîneur de clore ce chapitre de sa vie. «J’ai été dans ce milieu comme joueur, puis comme entraîneur pendant plus de 30 ans. Quand tu gagnes la vie dans le sport, tu travailles sept jours sur sept. Il vient un temps où tu veux profiter de la vie», a-t-il exprimé.
Denis Francoeur a largement eu l’occasion d’évoluer en tant qu’entraîneur au fil des années. «Quand on dit que l’expérience, ça s’acquiert, je suis en mesure d’en témoigner. Au fil des années, tu acquiers un savoir, des connaissances. Aujourd’hui, par rapport à quand j’ai commencé, je comprends beaucoup plus le sport et comment interagir avec le joueur de hockey», relève-t-il.
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo ci-contre.
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