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Amélie Brillant-Caoutte et Mélanie Girard sont à l'origine de ce projet.
«Sur le territoire il y a l'option de l'école publique ou celle à la maison qui n'est pas toujours accessible. Ce qu'on cherchait, c'était une autre alternative qui était le meilleur de l'école publique et le meilleur de l'école maison», a expliqué Amélie Brillant-Caoutte, cofondatrice de l'école Espérance.
L'école s'installera dans l'ancien Juvénat, qui a été transformé en complexe commercial.
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Les mères de famille souhaitent ainsi miser sur l'apprentissage par projet et sur l'apprentissage dans la nature à l'école.
«On veut vraiment mettre ça de l'avant et on veut mettre en place les conditions favorables à la réalisation de ces projets», a souligné Mme Brillant-Caoutte, cofondatrice de l'école. «On délaisse les écrans au profit de la nature.»
Du côté finances et matériels, elles sont appuyées par des partenaires du milieu scolaire. De plus, les frais d'inscriptions et les revenus du service du garde permettront à l'école de survivre.
«Les sous qu'on va aller chercher pour faire vivre notre école seront par les frais d'inscription, par les revenus du service de garde. On a aussi des partenaires du milieu qui croient vraiment dans le projet et qui nous soutiennent financièrement et matériellement», a ajouté Mme Girard, cofondatrice de l'école.
Il y aura environ une soixantaine d'élèves répartis en trois classes, pour la maternelle et les deux cycles du primaire.
Voyez le reportage de Marc-Antoine Mailloux ci-contre.