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Ce projet permet donc de diversifier l’usage de certaines églises, notamment pour y voir un spectacle, tenir des activités communautaires et commerciales, ou même boire un verre de vin.
Plusieurs de ces bâtiments religieux sont dans un état critique et nécessitent des interventions à court terme. Le projet pilote permettra de financer les travaux de protection du patrimoine nécessaires.
À titre d’exemple, l’église unie Saint-James, sur la rue Sainte-Catherine Ouest, nécessite entre 15 et 18 millions de dollars en réparation.
Même si certains fidèles pourraient critiquer cette approche, les besoins sont criants et «on est rendu à amener notre congrégation à penser en dehors de la boîte», soutient l’un des dirigeants de l’église, Jean Lagueux.
Toutefois, cette modification au règlement concernant l’utilisation de ces bâtiments religieux n’entrave pas pour autant leur protection, rassure le conseiller municipal de l’arrondissement Ville-Marie, Robert Beaudry.
Voyez le reportage d’Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo.