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Advenant une victoire du OUI, M. Chrétien a confié qu'il n'avait qu'à dire que la question lors du référendum manquait de clarté.
«Il nous disait qu’il respecterait la question, mais il a révélé que c’était un menteur», a lancé l'ex-chef du Bloc québécois en entretien sur les ondes de Noovo Info.
M. Duceppe persiste et signe: la question était «claire», bien qu'elle était de 85 mots. Pour le troisième référendum, la question devrait être plus courte, a-t-il nuancé.
«Ça devrait être: "Voulez-vous que le Québec devienne un pays oui ou non?"»
Les sondages sur la souveraineté ne veulent rien dire, a rappelé Gilles Duceppe. L'ancien chef du Bloc a expliqué qu'en 1995, le OUI tirait de l'arrière à 38% à seulement trois semaines du deuxième référendum.
«Trois semaines plus tard, on était à égalité. Il faut convaincre les gens et leur parler», a-t-il conclu.
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