Politique

Un français peu maîtrisé au débat pour la chefferie du PCC

À VOIR | C’était le seul débat de cette course qui avait lieu en français, une langue qui est peu maitrisée par les aspirants à la chefferie du PCC.

Publié

Un français peu maîtrisé au débat pour la chefferie du PCC Le débat délivré en français par les aspirants à la chefferie du Parti conservateur du Canada (PCC) qui s’est tenu le 25 mai à Laval a donné lieu à quelques échanges corsés, mais à encore plus de maladresses. C’était le seul affrontement de cette course qui aura lieu en français, une langue qui est peu maitrisée par les candidats. La question se pose: pourquoi les aspirants se sont-ils soumis à un tel exercice ? «Sinon ça va leur coûter 50 000$. C’est l’amende que le parti impose à tout candidat à la chefferie qui ne participe pas à l’un des deux débats officiels», a répondu l’analyste politique Christopher Nardi en entrevue avec l’animatrice Noémi Mercier au bulletin Noovo Le Fil 17. Les limites linguistiques des candidats ont entraîné un débat peu informatif, alors que les participants s’en tenaient à lire «religieusement» des réponses préfabriquées qui répondaient rarement aux questions, selon M. Nardi. Voyez l’entrevue complète de l’animatrice Noémi Mercier dans la vidéo.

Le débat délivré en français par les aspirants à la chefferie du Parti conservateur du Canada (PCC) qui s’est tenu le 25 mai à Laval a donné lieu à quelques échanges corsés, mais à encore plus de maladresses.

C’était le seul affrontement de cette course qui avait lieu en français, une langue qui est peu maîtrisée par les candidats. La question se pose: pourquoi les aspirants se sont-ils soumis à un tel exercice ?

«Sinon ça va leur coûter 50 000$. C’est l’amende que le parti impose à tout candidat à la chefferie qui ne participe pas à l’un des deux débats officiels», a répondu l’analyste politique Christopher Nardi en entrevue avec l’animatrice Noémi Mercier au bulletin Noovo Le Fil 17.

Les limites linguistiques des candidats ont entraîné un débat peu informatif, alors que les participants s’en tenaient à lire «religieusement» des réponses préfabriquées qui répondaient rarement aux questions, selon M. Nardi.

Voyez l’entrevue complète de l’animatrice Noémi Mercier dans la vidéo.