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Plusieurs syndicats estiment que l’incertitude perdure dans l’industrie en raison notamment de l’attitude du président des États-Unis.
«Ce qu’on perçoit c’est [qu’avec] Trump, on ne sait pas ce qui sort, tout change chaque heure, ce qu’il dit et ce qu’il écrit c’est deux choses. On dirait que cela fait partie de sa stratégie de négociation», explique Éric Drolet, président de la section locale 9 700 de l’ABI Bécancour.
M. Drolet espère par ailleurs que le gouvernement du Québec, notamment le premier ministre François Legault, consultera l’industrie de l’acier et de l’aluminium avant de mettre en place une quelconque réplique contre les États-Unis
Éric Drolet croit que de surtaxer l'aluminium québécois pour «faire mal» aux Américains n'est peut-être pas la solution.
Le président de la section locale 9 700 de l’ABI Bécancour estime aussi que le Québec et le Canada devraient garder un oeil sur les intentions de la Russie.
Les détails dans le reportage de Valérie Gendron.