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Lundi, les yeux du monde entier étaient tournés vers Moscou, où le président français Emmanuel Macron et le président russe Vladimir Poutine se rencontraient.
Dominique Arel, titulaire de la Chaire en études ukrainiennes de l'Université d'Ottawa, a suivi avec intérêt cette rencontre et les développements dans ce conflit qui couve depuis plusieurs années.
Il qualifie de «surréel» le contexte actuel. «On se croirait en 1939, pratiquement», déplore Mé Arel. Un conflit armé qui, s’il se déclenche, pourrait causer la perte de 50 000 civils et disséminer 5 millions de réfugiés partout en Europe.
Voyez l’entretien complet qu’il a accordé sur les ondes de Noovo Info.