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Parmi ces cas, on rapporte notamment de menaces verbales, des insultes, et même, des menaces physiques. Trois cas jugés plus sévères ont forcé le directeur général de la municipalité à écrire aux personnes concernées pour faire appel à leur vigilance.
«Quand on était plus confinés, il y avait beaucoup plus de cas», tempère tout de même la mairesse, Nathalie Pelletier.
Pour le conseiller municipal Jacques Laurendeau, lui qui a présenté ces statistiques aux élus de Magog la semaine dernière, l’objectif est de se rendre à zéro. La solution? Une meilleure communication.
«Quand les gens n’ont pas la réponse qu’ils voudraient avoir, ça crée un sentiment de frustration. Ça n’empêche pas [...] qu’ils soient polis, qu’ils soient courtois avec l’employé concerné», ajoute M. Laurendeau.
Malgré les cas d’incivilité, un premier sondage mené par la ville démontre que les citoyens sont majoritairement satisfaits des équipes municipales. Elles méritent la note de 85%.
«On trouve qu’on a une belle note. On se dit qu’il faut garder cette note-là pour la prochaine année», exprime Mme Pelletier.