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«Je ne suis pas prêt à jeter l’éponge, loin de là, avec les États-Unis. Je suis certain que même s’il y a des tarifs d’imposés, on trouverait des solutions mitoyennes», a partagé Jean-Pierre Senneville, président du groupe Bleuets sauvages du Québec.
M. Senneville ajoute que selon lui, «dans toute crise, il y a toujours une portion d’opportunités.»
«C’est une occasion pour le Canada et le Québec de faire du ménage, du ménage à l’interne […]», croit-il tout en précisant que l’achat local demeure prioritaire, peu importe la situation.
Les détails dans le reportage d’Étienne Ouellet.