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Plusieurs témoignages de victimes qui ont vu leur indemnisation prendre fin après trois ans ont incité ces femmes à poursuivre leur combat.
«Si personne ne parle, que va-t-il se passer? Tout le monde va finir dans la rue», a confié Josée Grenier.
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard mentionne qu’il est insensé que des victimes ne puissent pas prolonger leur couverture de l’IVAC, même si elles demeurent inaptes au travail.
«Je le prends comme une condamnation à mort, a renchéri Brigitte St-Pierre, une autre victime. J’ai choisi de me battre jusqu’à la fin en espérant que nos voix soient entendues.»
Voyez le reportage de Félix-Antoine Audet dans la vidéo.