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«C'est une activité qui a gagné en popularité après la pandémie. On voit des gens qui sont moins bien préparés. [Mauvais] type de chaussures dans les pieds ou des choses comme ça, pas d'eau ou un cellulaire… Ça nous est arrivé de voir des gens qui avaient des batteries de cellulaires à 20 %», énumère l’assistant-directeur du Service sécurité incendie de Magog, Daniel Comeau.
Sur le territoire de la Ville de Magog, ce sont d’ailleurs en moyenne 20 à 30 sauvetages en montagne qui sont réalisés chaque année.
De son côté, le bénévole chez Recherche sauvetage Estrie Éric Laviolette a un conseil: être préparé à tout.
«On peut aller faire une randonnée de huit, neuf, dix kilomètres et il ne va rien nous arriver. Comme on pourrait décider de partir venir faire une petite randonnée ici au Mont-Bellevue, prendre les petits sentiers qui passent à travers les bois et se fouler la cheville», illustre-t-il.
La Sépaq recommande quant à elle de ne jamais partir seul.
La Ville de Magog et la Sépaq ont d’ailleurs mis en place l'application Ondago, qui permet aux équipes de sauvetage de gagner du temps en localisant les randonneurs grâce à des balises placées tout au long des sentiers.
Pour le reportage intégral, voyez la vidéo.