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C’est notamment le cas de la violence armée à Montréal, alors que 84% des répondants ont affirmé être préoccupés et ce, qu'ils soient résidents de la métropole ou non.
Voyez le reportage de Fanny Lachance-Paquette au bulletin Noovo Le Fil 17 animé par Marie-Christine Bergeron.
Questionnée à savoir s'il était possible que les épisodes violents observés à Montréal se propagent au reste de la province, la criminologue Maria Mourani répond par la négative. «Le fait qu'il y ait de la violence armée à Montréal n'est pas synonyme d'une expansion de la violence ou d'une possibilité d'expansion. Il faut savoir que lorsqu'on assiste à ce type de montées de violence, c'est très symptomatique de la ville où on est.»
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77% des répondants du sondage étaient d'avis que le gouvernement devrait en faire davantage pour lutter contre les changements climatiques.
Pour ce qui est de la langue française, 68% des répondants indiquaient être préoccupés par sa situation.
«La langue française a été très présente dans le débat de la semaine dernière et va être présente aussi ce soir. Les changements climatiques sont dans les débats aussi. La question de la sécurité est moins présente, on en discute un peu moins. Peut-être parce que c'est un enjeu qui est plus localisé, moins national», explique le professeur en communication stratégique à l'Université de Sherbrooke Emmanuel Choquette.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo.