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Cette situation et bien d'autres, comme l'existence d'îlots de chaleur qui affectent disproportionnément les communautés les plus pauvres de Montréal, sont autant de raison pour ramener le concept de justice environnementale à l'avant plan, selon la Fondation David Suzuki qui publie un rapport et huit recommandations.
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Intitulé Pour une justice environnementale québécoise: réalités, arguments, pistes d’actions, les auteurs du rapport appellent à prendre en compte les réalités sur le terrain et reconnaître que les populations à plus faible revenus et les communautés autochtones, notamment, sont plus souvent exposés à des contaminants environnementaux, ce qui cause des problèmes de santé.
Les auteurs appellent à la création d'un indice pour mesurer ces impacts, ce qui guiderait l'implantation d'industrie plus polluantes pour mitiger les impacts de la pollution sur les personnes qui vivent déjà d'autres impacts sur leur santé.
Voyez le reportage d'Anaïs Elboujdaini dans la vidéo.