Victime de son succès, la troisième phase de la promenade Samuel de Champlain est rapidement devenue l'endroit prisé par plusieurs, tant par les touristes que par ceux de la région.
«C’est un succès extraordinaire qu’on vit depuis le jour un. Ça fait exactement un mois ce week-end qu’on a inauguré la station de la plage. On est forcé de constater que les gens ont décidé de se l’approprier. On voit que les aménagements qu’on leur propose répondent à leur satisfaction», a expliqué Jean-Philippe Guay, porte-parole de la Commission de la capitale nationale du Québec.
Les stationnements à proximité se remplissent rapidement. Parmi les 425 places, il est encore difficile de trouver un espace pour se stationner.
«On invite les gens à peut-être diversifier leur mode de transport.»
Mais, des solutions existent pour accéder au site facilement, comme le vélo ou le transport en commun.
«Il y a trois stationnements, en plus des espaces de stationnement le long du boulevard. [...] À ça, on peut ajouter aussi, 150 supports à vélo. C’est une promenade urbaine. […] Les gens peuvent venir à pied et à vélo. Donc, il y a plusieurs façons de se rendre ici. Il y a aussi la RTC qui dessert les week-ends et jours fériés jusqu’au 9 octobre», a précisé M. Guay en entrevue.
Des terrains vagues pourraient être utilisés à des fins de stationnement aux abords de la ligne de chemin de fer, qui longe le boulevard Champlain. Toutefois, ces terrains appartiennent au Canadien National.
«Devant chez nous, il y a une magnifique prairie. On pourrait l’utiliser. […] Ils ont mis des blocs de ciment pour empêcher les gens de rentrer. Il y aurait facilement 200 autos qui pourraient rentrer là», a soutenu Mira Falardeau, une résidente.
Du côté de l'organisme, M. Guay assure de bonifier l'offre pour la plage en 2024.
«On va essayer de revenir l’an prochain avec une offre bonifiée avec une version améliorer de tout ça pour s’assurer que l’expérience est encore plus intéressante», a conclu le porte-parole de la Commission de la capitale nationale du Québec.
Voyez le reportage de Jacques-Alain Houle ci-contre.
