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Cette fermeture engendrait une pause de production de deux semaines et 227 travailleurs pourraient être mis à pied pendant cette période.
Le président du Syndicat national des travailleuses et des travailleurs des pâtes et papiers de Kénogami, Gilles Vaillancourt, déplore que le moral soit au plus bas chez les ouvriers.
Les travailleurs sont inquiets pour l’avenir de l’usine. À chaque fermeture, les ouvriers cherchent un emploi ailleurs.
Cette fermeture est expliquée par la baisse des commandes mondialement. Alors qu’une récession plane au-dessus des marchés, les clients ont tendance à moins entreposer, poursuit M. Vaillancourt.
Il est toutefois peu probable que les usines d’Alma et de Dolbeau.
«Je n’ai pas entendu parler de fermeture, mais personne n’est à l’abri de ça», s’avance M.Vaillancourt.