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Corson, qui a témoigné mercredi matin, est d’avis que la victime alléguée a consenti à la relation sexuelle en groupe qui se serait déroulée au domicile de la jeune fille à l’automne 2016.
«Il est impossible, à mon sens, qu’il n’y ait pas place à un doute. Pas juste la version de mon client, mais face à l’ensemble de la preuve qui a été présentée», a plaidé l’avocat de l’accusé, Jasmin Laperle, qui ne croit pas que la présumée victime n’était pas consentante. Il estime que le témoignage de celle-ci «ne fait pas de sens» et que le juge devrait l’écarter complètement.
Les explications de Guillaume Cotnoir-Lacroix.