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L'objectif est, oui, de préserver l'environnement, mais aussi de contribuer à la qualité de vie des citoyens.
«On l’a vu avec la COVID : on n’avait plus d’espace pour faire des loisirs. Et on a vu une augmentation significative de la présence de marcheurs, de gens qui font du vélo de montagne, de la course, donc c’est vraiment en soit des espaces de loisir, sauf qu’il n’y a rien de réglementé», explique Sylvie Miaux, professeure au département d’études en loisirs culture et tourisme à l’UQTR.
Le journaliste Marc-André Pelletier a rencontré Sylvie Miaux et Valérie Delage, quant à elle membre de l’organismes Piliers verts.