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C’est ce qu’il a affirmé lors du bulletin Noovo Info 17 animé par Marie-Christine Bergeron, mercredi.
Pour visionner l’entrevue avec Gabriel Nadeau-Dubois, voyez la vidéo liée à l’article.
Il déplore notamment le signe sous lequel semble s’être amorcée la rentrée scolaire 2023, soit celui de la pénurie de personnel.
«Ça n’a pas d’allure au Québec, en 2023, qu’on manque de profs comme ça, surtout que c’était prévisible. Ça fait des années qu’il y a des avertissements sur la pénurie de personnel», a-t-il lancé.
Selon M. Nadeau-Dubois, le problème de pénurie de personnel ne se situe pas dans la formation d’enseignants, mais plutôt dans la rétention de ceux-ci. «Ce n’est pas qu’on ne forme pas assez de profs, c’est qu’ils désertent l’école publique, à cause des conditions et que la charge de travail est trop difficile», a poursuivi le solidaire.
Questionné au sujet de l’augmentation du coût de la vie, Gabriel Nadeau-Dubois a d’ailleurs affirmé qu’il s’agissait «de la rentrée scolaire la plus chère de l’histoire».
Rappelons que lors de la rentrée scolaire qui s’est amorcée lundi, le ministère de l’Éducation avait indiqué que plus de 1800 postes restaient à combler. Le lendemain, le ministre Drainville avait toutefois assuré qu’il y «aurait un adulte dans chaque classe pour la rentrée».
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo liée à l’article.