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Questionné à savoir s’il n’aurait pas été judicieux de réintroduire le masque dans les écoles, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé se fier aux experts.
«Les enfants, quand ils sont à l’école, ils sont entre eux. Ce qu’on a compris, c’est que c’est très, très, très désagréable [de porter le masque]. On a pris la décision que pour les enfants, ce n’était pas la bonne chose», a-t-il expliqué à l’animatrice du bulletin Noovo Le Fil 17, Marie-Christine Bergeron.
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Le ministre a précisé que s’ils avaient des symptômes à l’extérieur des écoles, les parents pouvaient faire porter un masque à leurs enfants.
«Je pense qu’on est rendu à un moment, après presque trois ans d’expérience de pandémie, où on peut se fier au jugement des gens», a relevé M. Dubé.
Il a ajouté ne pas planifier rendre le port du masque obligatoire prochainement : «On est dans un mode préventif. On ne veut pas du tout y aller avec l’obligation du masque. C’est pour ça qu’on a donné ces commandes qui sont très claires.»
À propos de rendre le vaccin contre l’influenza gratuit, comme en Ontario, Christian Dubé a affirmé écouter la Santé publique et le Comité d’immunisation.
«Jusqu’à maintenant, ils nous ont dit qu’on ne devait pas changer les règles, parce que c’est seulement une certaine catégorie de personnes, soit les plus vulnérables ou les très jeunes enfants, qui étaient éligibles à l’avoir gratuitement», a-t-il souligné, tout en précisant qu’il n’était pas impossible d’avoir d’autres discussions à ce sujet éventuellement.
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo.