Bruno Marchand a cité le succès Jérôme 50 pour justifier un projet pilote obligeant les musiciens de rue à chanter uniquement en français n’accepte que la musique francophone dans certains secteurs.
«On est à Québec icitte», a lancé le maire de Québec, faisant référence au néologisme «On est au Québec ici» et au titre Tokébakicitte de Jérôme 50.
M. Marchand a mentionné que seulement deux sites étaient visés par cette règlementation: le parc Félix-Leclerc et la place Royale.
«Ce n’est pas partout, ceux qui ne sont pas contents, ils iront vers d’autres sites», a-t-il réitéré.
Le maire dit également avoir «capoté» lorsqu’il a vu les oppositions critiquer cette nouvelle mesure sous prétexte que «l’anglais attire les touristes».
«J’ai capoté de voir les oppositions s’objecter et dire qu’on attire les touristes avec l’anglais. On n’est pas soumis à un dictat anglophone», a-t-il ajouté.
«La Ville de Québec, c’est français. On va l’assumer. Le français fait partie de notre culture», a-t-il conclu.
La Ville de Québec, qui rappelle que ce projet pilote est seulement à l’essai, ne compte pas empêcher les artistes autochtones de chanter dans leur langue d’origine.
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