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Alors que plusieurs établissements ont su s’adapter à la nouvelle loi, entrée en vigueur mercredi dans l’ensemble du Québec, le tout semble être plus compliqué pour d’autres.
C’est le cas de Philippe Bolduc. Le propriétaire de Phil smoked meat, situé à Cap-Rouge, explique n’avoir reçu aucune réponse de son fournisseur, qui doit apporter les modifications nécessaires sur ses terminaux de paiements électroniques (TPE).
C’est trois semaines plus tard qu’on lui aurait appris que la «compagnie n’était pas prête» à faire ce changement.
«Et des programmeurs nous disent finalement que les TPE ne sont pas programmables pour cette nouvelle loi», a-t-il déploré.
Des commerçants qui vivent la même situation espèrent que le gouvernement fasse preuve de flexibilité afin que les entreprises puissent s’adapter.
Or, dans la majeure partie des cas, les entreprises ont déjà réalisé ce changement majeur.
Il reste toutefois «quelques ambiguïtés à régler» quant à certaines règles, a ajouté Michel Rochette, président du Conseil canadien du commerce de détail du Québec.
Voyez le reportage de Félix-Antoine Audet dans la vidéo.