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La métropole fait un pas de plus pour réduire l’enfouissement de déchets, mais certains commerçants et leur clientèle devront s’adapter.
«C’est certain que de plus petits commerçants, des commerçants plus isolés, que ce soit par la barrière linguistique ou d’autres types d’enjeux, risquent d’avoir un peu plus de difficulté à s’adapter», a rapporté le président-directeur général de l’Association des détaillants en alimentation du Québec, Pierre-Alexandre Blouin.
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Tous les types de sacs en plastique sont touchés par la nouvelle règlementation, soit les sacs non dégradables, biodégradables et même les sacs compostables.
Selon les estimations des dernières années, le Québec utilisait environ 2 milliards de sacs en plastique chaque année.
«Pourquoi on bannit dans le fond? On sait que plus de 80% des sacs d’emplettes se retrouvent, soit à l’enfouissement, soit perdu dans l’environnement avec un impact majeur sur les écosystèmes», a soutenu la responsable de la transition écologique à la Ville de Montréal, Marie-Andrée Mauger.
Voyez le reportage de Louis-Philippe Bourdeau dans la vidéo.