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Des organismes tentent de déboulonner ce mythe, privilégiant le terme de «contrôle coercitif», et ainsi mieux protéger les victimes.
Il s’agit de situations où l’agresseur a le contrôle de la vie de sa victime et la prive de ses droits.
Si de plus en plus d’avocats et de policiers sont formés sur ce concept, le système judiciaire canadien — lui — tarde à le reconnaître.
Voyez le reportage de Louis-Philippe Bourdeau dans la vidéo.
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