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Malgré tout, Dominic Vallières, analyste politique, et Victor Henriquez, expert en relation publique et en gestion de crise, ont confié mardi à Michel Bherer au bulletin Noovo Le Fil 22 qu’il s’agissait d’un très bon choix.
«Michael Sabia ne faisait pas partie des noms qui étaient sur ma liste, mais c’est assurément un nom qui fera plaisir à beaucoup de gens», a affirmé Dominic Vallières.
Même son de cloche du côté de Victor Henriquez.
«C’est l’un des noms que nous n’avions pas du tout entendu depuis le début de ce dossier. Il s’agit d’un gestionnaire crédible, d’une personne dont les compétences ne seront pas remises en question. Je m’attends toutefois à un mandat assez court et assez précis dans les attentes», précise-t-il.
Par ailleurs, Dominic Vallières et Victor Henriquez estiment que l’un des premiers défis de Michael Sabia sera de rassurer les grandes entreprises qui ont déposé des demandes auprès d’Hydro-Québec afin d’obtenir des mégawatts.
«Nous sommes dans une situation particulière au Québec alors que nous voyons le bout de la production énergétique. Il faut rassurer ces gens-là, mais aussi rassurer les citoyens. Une personne comme Michael Sabia, ça coche toutes les cases», affirme M. Vallières.
«Il faut valoriser la chaîne de valeur. On veut créer de la richesse à Hydro-Québec et c’est ce que monsieur Sabia devra faire», précise pour sa part Victor Henriquez.
Dans l’article vidéo, disponible ci-contre, Dominic Vallières parle également du passage du chef conservateur Pierre Poilievre à Québec, de l’éventuel dépôt du plan en immigration francophone de la CAQ et de la motion du PQ demandant de déclassifier les documents en lien avec le référendum de 1995.
Voyez l’intervention complète.