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La mobilisation survient malgré l’annonce récente de l’arrivée de deux nouveaux médecins, une nouvelle accueillie positivement, mais qui ne suffit pas à dissiper les inquiétudes.
«Ça n’a pas de bon sens de couper des services en régions», s’exclame Mario Lyonnais, préfet du MRC de Bécancour, dénonçant une situation jugée inacceptable pour les citoyens des milieux ruraux.
Patricia Mailhot, présidente par intérim du FIQ, partage cette inquiétude: «Les urgences les plus proches dans les environs sont à 50 minutes. Chaque minute compte dans une urgence.»
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