La lutte aux changements climatiques passe par la diminution des gaz à effet de serre (GES). Et dans les GES, il se trouve également du gaz produit par les animaux, notamment les pets vaches.
C’est pourquoi l’industrie laitière se met en action pour réduire son empreinte écologique.
«Cette semaine, on a adopté un plan ambitieux en développement durable», a soutenu le président des Producteurs de lait du Québec, Daniel Gobeil, en entrevue avec Jean-Simon Bui au bulletin Noovo Le Fil Estrie.
Ledit plan se décline sur les plans de l’environnement, du bien-être des producteurs et de l’économie. L’association souhaite d’ailleurs avancer la recherche afin de se doter des meilleures pratiques.
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Cependant, «nos délégués nous l’ont fait sentir: on ne peut pas être vert et être dans le rouge au niveau des fermes», a ajouté M. Gobeil. D’ailleurs, le nombre de fermes laitières est en chute au Québec depuis les 20 dernières années.
Pour ce qui est des gaz des animaux, la première étape est de savoir combien de méthane se retrouve dans l’air. Pour se faire, le gouvernement du Québec vient tout juste d’apporter une aide de 3,6 millions de dollars.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.
