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Les maisons des jeunes «survivent» aux difficultés financières

«On est obligés de jongler avec des budgets qui sont minimes. Ça veut dire qu’on est obligés de couper dans des services […] obligatoirement, le premier impact c’est sur nos jeunes».

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Les maisons des jeunes «survivent» aux difficultés financières Les maisons des jeunes «survivent» aux difficultés financières

Amélie Aubet, la directrice générale de la maison des jeunes la Marginale, doit envoyer plus de 200 lettres par la poste dans le but d’obtenir quelques milliers de dollars pour la survie de l’organisme.

Les maisons des jeunes, qui sont sous-financées depuis des années, fonctionnent avec seulement le tiers de l’argent dont elles ont réellement besoin.

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Selon le regroupement des maisons des jeunes, il manquerait près de 300 000$ par établissement, et ce, seulement pour couvrir les opérations quotidiennes.

«On est obligés de jongler avec des budgets qui sont minimes. Ça veut dire qu’on est obligés de couper dans des services […] obligatoirement, le premier impact c’est sur nos jeunes», a soutenu Mme Aubet.

Voyez le reportage de Laurence Royer dans la vidéo.