Début du contenu principal.
Parmi les noms qui circulent, plusieurs restaurants montréalais se démarquent: Vin Mon Lapin, Montréal Plaza, L’Île Flottante, Le Mousso et Le Monarque. Tous sont pressentis pour intégrer ce cercle très fermé.
«C’est le fun d’avoir de la reconnaissance, mais c’est surtout pour l’équipe», souligne Charles-Antoine Crête, chef et copropriétaire de Montréal Plaza.
«Ça serait un privilège d’être nommé. Mais on fait bien les choses sans Michelin et on va continuer à bien les faire.»
Depuis plusieurs mois, des inspecteurs sillonnent les établissements du Québec pour décerner des étoiles.
«Le succès peut engendrer des défis. Les études montrent que cela peut entraîner jusqu’à 25 %, voire 40 % d’augmentation des ventes, selon que vous soyez en milieu urbain ou en région», évoque Robert Laporte, professeur en gestion de la restauration de l’ITHQ.
Cette visibilité accrue exige des restaurateurs qu’ils s’adaptent rapidement: embauche de personnel, maintien de standards élevés, gestion de l’afflux de clients. Une étoile Michelin, c’est aussi une responsabilité.
Voyez le reportage de Marika Simard.