Début du contenu principal.
Pour le directeur général de Cinémania, Guilhem Caillard, c’est la quantité de films proposés ainsi que leur éclectisme et la passion du cinéma qui s’en dégage qui font la beauté du festival.
À lire également :
C’est le film Chien Blanc réalisé par Anaïs Barbeau-Lavalette qui ouvrira d’ailleurs la marche mercredi. «C’est un film avec une thématique très d’actualité. Comme d’habitude, Anaïs s’intéresse aux grands projets de société et montre qu’elle est une grande humaniste», a exposé M. Caillard en entrevue avec l’animateur Étienne Fortin-Gauthier au bulletin Noovo Le Fil Week-end.
«C’est un très grand film pour ouvrir le festival», s’enthousiasme le directeur de Cinémania.
M. Caillard explique que l’objectif principal de Cinémania est de renforcer le sentiment d’appartenance des jeunes Québécois à la francophonie internationale. «On a une grande cinématographie ici au Québec. D’ailleurs, on lance cette année une nouvelle compétition de cinéma québécois, avec 11 longs-métrages qui sont tous des premières, indique-t-il. Ces films québécois participent à un grand ensemble de production francophone international.»
Avec autant de films provenant de pays différents, les spectateurs auront l’occasion de plonger dans des univers avec lesquels ils ne sont pas familiers. «À Cinémania, on aime beaucoup les curiosités. On s’intéresse cette année au cinéma luxembourgeois. [Le Luxembourg] est un tout petit pays qui a été envahi par plein de forces étrangères dans son histoire», illustre M. Caillard, qui note au passage que plusieurs similitudes unissent le Luxembourg et le Québec.
Le premier ministre luxembourgeois, Xavier Bettel, sera d’ailleurs présent au festival en compagnie d’une cinquantaine de producteurs du Luxembourg.
Le festival Cinémania se déroulera du 2 au 13 novembre et présentera des films au Cinéma Impérial, au Cinéma du Musée, à la Cinématèque québécoise, au Cinéma du Parc et au Centre Phi.
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo.