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Mathieu Montaroux, conseiller en préparation et planification de mesures d’urgence, est formel: le contexte pandémique et le conflit en Ukraine ont créé un engouement pour le survivalisme au Québec. Celui qui administre un site web sur le sujet confirme que le trafic sur sa page a «triplé».
Pour les plus récentes nouvelles touchant le grand Montréal, consultez le Noovo Info.
«Est-ce que tu es parano si tu te prends une assurance maison, ou une assurance vie?» questionne l’ex-militaire des Forces armées françaises, qui préfère qualifier ses actions de «préparation citoyenne.»
Ce dernier ajoute que l’objectif de ses actions est de garder un «certain confort en cas de bris de normalité» et que ses conseils s’adressent à tout le monde. «S’il arrive quelque chose, je ne vais pas courir au magasin comme ç’a été le cas pour le papier de toilette.»
Même son de cloche chez Charles Roy, propriétaire d’une boutique spécialisée notamment dans le matériel de survie, qui affirme que de plus en plus de personnes s’intéressent au prepping. «Avant c’était vraiment des passionnés, maintenant c’est monsieur-madame tout le monde qui veut se préparer, qui veulent apprendre», explique M. Roy, qui dit avoir assez de matériel chez lui pour vivre au moins trois mois sans avoir besoin de rien.
Pour tous les détails, voyez le reportage d'Hugo Meunier dans la vidéo qui accompagne ce texte.