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Chaque année depuis 2001, la Guignolée des médias vient en aide aux familles dans le besoin pour leur permettre de célébrer la période des Fêtes dans la dignité.
«La Guignolée des médias est essentielle pour donner un coup de pouce à nos organismes», a récemment souligné Chantal Vézina, directrice générale de Moisson Montréal, l’un des partenaires de la Guignolée des médias.
Mme Vézina a souligné en entrevue récemment avec Marie-Christine Bergeron au bulletin Noovo Info 12 que la Guignolée a de grands impacts sur les bénéficiaires. Que ce soit en donnant de l’argent ou des denrées, «tous ces moyens nous permettent de réaliser notre mission», indique-t-elle.
Selon Mme Vézina, le nombre de personnes dans le besoin augmente continuellement et cela représente un véritable défi pour les organismes.
«On ne vous cachera pas que de réussir à combler tous ces besoins-là c’est un défi gigantesque», a-t-elle déclaré.
1,3 million de dollars ont été amassés depuis le début de la campagne 2024 de la guignolée selon un premier bilan paru jeudi à 16h00. Pour Montréal seulement, c'est 225 000 $ qui ont été amassés.
«On ne peut même pas prétendre qu’on réussit à 100% d’où l’idée de la Guignolée pour nous donner un coup de pouce pour pouvoir venir en aide au plus de gens possible».
Elle ajoute que les denrées «sèches», qui ont des durées de vie plus longues, comme de la farine, le sucre ou les céréales sont très difficiles à dénicher dans les inventaires des banques alimentaires.
«Ce sont des produits qu’on peut garder longtemps, que les manufacturiers ou les détaillants gardent longtemps, donc c’est très long avant qu’on puisse en avoir pour pouvoir les partager», mentionne la directrice générale de Moisson Montréal.
«Tous les produits qui nous permettent de cuisiner sont les meilleurs produits à donner lors de la guignolée», ajoute-t-elle.
Voyez Michel Bherer, chef d'antenne pour Noovo et porte-parole pour la Guignolée des médias parler de cette édition 2024.