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Le gouvernement est actuellement incapable de donner des chiffres précis sur cette situation. Cependant, la Ville de Montréal estime que l’impact des déchets provenant des masques serait marginal en comparaison avec les déchets provenant des secteurs comme la construction et la restauration.
Pour une réponse plus complète, il faut retourner à la source la pandémie.
«Il n’y a pas eu de contrôle sur les équipements de protection individuelle, dont les masques. Il n’y a pas eu de contrôle au niveau de la distribution», a expliqué le directeur général de Front commun québécois pour une gestion écologique des déchets, Karel Ménard.
De plus, comme ils sont composés de plastique, d’aluminium et parfois même de carbone, ces masques sont très difficiles à recycler.
Voyez le reportage d’Emmanuel Leroux-Nega au bulletin Noovo Le Fil 17 dans la vidéo.