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Dans son bilan annuel, le corps policier rapporte notamment une augmentation de 13% des crimes contre la personne. On souligne particulièrement une hausse de 24% de la violence conjugale.
Les enjeux liés à l’itinérance font de plus en plus partie du quotidien des policiers granbyens.
«C’est sûr que c’est un fléau, au niveau provincial et au niveau fédéral. Et Granby est une ville centre», exprime le directeur du service, Bruno Grondin.
Comme ailleurs au Québec, Granby a de la difficulté à recruter de nouveaux policiers. Durant la pandémie, l’École nationale de police a accueilli de 300 à 400 moins de candidats annuellement. Les effets de cette chute se font encore sentir aujourd’hui, soutient l’inspecteur-chef, Benoit Desautels.
«Les dernières années ont été difficiles et on le sait que ça va être difficile encore pour un an ou deux», ajoute-t-il. Le corps policier accueillera tout de même 13 nouveaux agents cette année.
Le bilan annuel complet des activités du Service de police de Granby sera publié en mai prochain.